… et soyez prudents. La moindre erreur dans ces milliers de cartes et le programme est bloqué !
Je vous parle d’un temps … Bref, il y a prescription. Je n’avais pas vingt ans et un ordinateur occupait tellement de place qu’il n’était pas évident de l’installer dans n’importe quel bâtiment.
Je vous parle d’un temps où, plus par révolte que par intérêt réel, j’ai convaincu mon paternel – qui n’y comprenait strictement rien – de me payer ma première formation en … « informatique ».
Quelques semaines de rudiments et d’apprentissage du langage Cobol. Sans même voir une machine. A peine quelques cartes perforées …
Mais, la naissance d’un intérêt pour ces techniques nouvelles. De réelles formations ensuite. Et une curiosité pour cette extraordinaire révolution et ses évolutions permanentes.
Voilà que plus de 45 ans plus tard, ce monde fou nous propose de dialoguer avec « la machine ». Non seulement nous pouvons accéder en un nombre limité de clics à une multitude d’informations sur des thématiques diverses et variées, mais nous pouvons maintenant interagir, dialoguer !
Si je comprends et partage les inquiétudes tant sur les plans économique et social que sur les plans éthique et émotionnel, j’avoue une curiosité enthousiaste. (voir https://obsant.eu/IA/ )
Donc, je teste. Mais de quoi causer avec cette hydre aux multiples facettes ?
Pour mes premiers pas, j’ai choisi d’interpeller le « chat » d’openAI (https://chat.openai.com/ ) sur les travaux de mon ami Vincent Mignerot. Pardon, Vincent.
Et cela donne quelques échanges dont je vous livre le contenu :
Connaissez-vous le chercheur français Vincent Mignerot ?
Pour info, malgré le coup de main « humain », les réponses restent incomplètes (https://obsant.eu/vincent-mignerot/ ). En reposant des questions sur l’auteur proposé dans quelques semaines, il se pourrait bien que l’on reçoive une information plus complète, plus précise.
Donc, chères lectrices, chers lecteurs, non seulement l’outil peut apporter un soutien à l’acquisition de connaissances, mais il est possible de l’alimenter.
Je sens que je vais m’amuser. Comme si j’avais encore vingt ans.
